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LOUZAC SAINT-ANDRE Les Graffiti de l'Eglise Saint Martin



LOUZAC SAINT ANDRE

« Les Graffiti de l'Eglise Saint Martin »

Avant-Propos

Depuis trois décennies, le GRAHT (Groupe de Recherches Archéologiques et Historiques Tolvère) oriente ses recherches, sur les témoignages laissés par les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle, sur les monuments jalonnant les routes du pèlerinage compostelan. Depuis le Moyen-âge, cette population européenne itinérante, pour la majorité d’entre elle analphabète, dut inventer un mode de communication simple, visible et compréhensible par toutes les nationalités se rendant sur le tombeau de l’Apôtre Jacques, en Galice. Ce langage des signes se développa rapidement et recouvra les murs de bon nombre de nos monuments civils et religieux. Ce mode d’expression glyptographique universel, que le GRAHT a mis à jours au cours de nombreuses années de recherches en Europe, a fait évoluer nos connaissances sur un autre aspect de l’histoire du pèlerinage. Ces gravures laissées par des générations de pèlerins constituent un témoignage inestimable et n’en constitue pas moins un héritage précieux, que cette foule d’anonyme nous a transmis à travers le temps. Ce langage s’est perpétué à travers les siècles et les frontières et si aujourd’hui, il est tombé dans l’oubli et passe inaperçu aux yeux des pèlerins modernes, nous savons au GRAHT, qu’il fut un mode de communication essentiel pour la protection, la sauvegarde et le bon déroulement du voyage entrepris vers Santiago .



Un langage universel sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle



Abstract : Cette population migratoire qui sillonna les routes de l’Europe, ne parlant pas la même langue, ne sachant, pour la majorité de ces marcheurs, ni lire ni écrire, utilisa comme moyen de transmission des informations, la gravure. Petit à petit, un langage universel se matérialisa sous forme de figures, sur les murs des monuments balisant les grandes voies et les chemins secondaires du pèlerinage compostelan. Ces graffiti étaient destinés à transmettre des indications multiples, aux pèlerins empruntant ces chemins. Progressivement ces graffiti devinrent un langage universel à l’usage des pèlerins. Pour chacun de ces modes de transmission, existait des graffiti qui précisaient au pèlerin quel comportement adopter pour la suite de sa pérégrination.



Introduction

Découverts au printemps de l’année 2009 par Daniel Bernardin et Pierre Eggimann, l’étude des graffiti de l’église Saint-Martin de Louzac, commencera à la même époque. Dans un premier temps, un diagnostic général, établissant l’importance des gravures inscrites sur les murs extérieur, sera entrepris au cours de la période estivale qui suivra. Les recherches menées par le GRAHT, à Louzac Saint-André, dureront neuf années. L’équipe du GRAHT qui participa aux relevés, aux prises d’empreintes des graffiti, aux moulages, au traçage des gravures et aux travaux de peintures, se composa d’une vingtaine d’intervenants. Des relevés complets de la façade, des murs sud et nord, de la tour du clocher, des chapelles et du chevet seront établis. Une fois ce calepinage effectué, il sera reporté sur chaque pierre correspondante, les dessins des gravures laissées par les artistes anonymes qui passèrent et s’arrêtèrent à Saint-Martin de Louzac. Ces graffiti signalaient l’appartenance à un groupe d’individus reconnaissables par la nature de leurs tracés. Les artisans du bâtiment participant à la construction de l’édifice, signalaient leur corporation par des outils professionnels, des figures géométriques, ou autrement symboliques et les pèlerins de Saint-Jacques manifestaient le lien qui les unissait à leur foi et à la nature de leur pérégrination, par leurs attributs bourdons, besaces, coquilles, calebasses ou encore des objets personnels ramenés de leur périple, médailles, ampoules de pèlerins et autres reliques. Ces dessins n’avaient rien d’imaginaires. Ils correspondaient à une absolue nécessité d’apporter des renseignements primordiaux pour le bon déroulement du voyage et d’aider rassurer et soulager les jacquets à poursuivre dans de bonne condition sa pérégrination vers le tombeau de l’Apôtre Jacques, en Galice. Ce mode d’expression, qui s’exprimait sous forme d’allégories, était d’une grande importance pour les marcheurs de Dieu. Il informait et renseignait ces derniers sur : - La qualité de son auteur, - La foi du pèlerin, - Les attributs du pèlerin, - Le balisage et la signalétique des chemins, - Les points sensibles, les gués, les points de transbordements maritimes, les ports, - Les conditions d’hébergement, - Les lieux des centres de soins, - Le mode de déplacement, à pied, à cheval ou la combinaison de plusieurs modes de transport (cheval, fer à cheval, bateau, pas ou semelle) - La sépulture d’un pèlerin. Les graffiti, premier langage rudimentaire certes, n’en constituaient pas moins un livre ouvert, nettement visible et lisible sur son support de pierre, simple, pratique et indispensable pour le jacquet médiéval. Les informations qui étaient gravées n’ornaient pas seulement les murs des monuments religieux (Abbayes, cathédrales, monastères, ermitages, chapelles, commanderies) ou les lieux de soins (hôpitaux, maladreries, infirmeries), ils se voyaient également sur les lieux de passage très fréquentés par les pèlerins. Châteaux, logis, relais de poste à cheval, ponts médiévaux, maisons fortes, etc., servaient de panneaux indicateurs. De nos jours, ce patrimoine s’efface peu à peu. Ces gravures inestimables qui nous racontent la petite histoire du pèlerinage disparaissent progressivement. C’est pour cette raison que nous avons orienté nos missions scientifiques sur la sauvegarde de ce patrimoine, qui dans quelques décennies, aura totalement disparu, gommer par le temps et les hommes.

L’Eglise Saint-Martin et les seigneurs de Louzac



Vicairie perpétuelle, unie au chapitre cathédral de Saintes, l’église Saint-Martin de Louzac fut construite au XIe siècle selon l’abbé J. Nanglard ou au cours du troisième quart du XIIe siècle, comme l’écrit un autre auteur charentais, Jean George . Saint-Martin tout au long de son histoire, subira au cours des siècles, de multiples transformations. Long rectangle, pourvu d’une abside semi-circulaire, elle recevra au sud, une chapelle romane dédiée à Saint-Antoine de Padoue. La nef possède trois travées qui furent recouvertes d’un berceau en brique en 1892. Elle est éclairée de trois baies. Au sud, la petite chapelle romane est ouverte par un arc en plein cintre, surmonté de la coupole du clocher. La tour du clocher se positionne dans l’angle sud-ouest de celle-ci. Un escalier étroit, aux marches de pierre irrégulières, mène à une porte qui donne accès au carré du clocher. Une seconde porte, percée au nord permet de circuler autour de la voûte en berceau. Le clocher renferme une seule cloche datée de l’an 1607, avec pour parrain M. Pierre Barbier ou Barrier, seigneur de Montifault et marraine Jeanne des Sèches. La cloche porte l’inscription « A ESTE MARRINE DAMOISELLE IANNE DE SECHEN 1607 ».

A la fin du XVe, début XVIe siècle, selon nos propres observations, une seconde chapelle, dédiée à la Sainte Vierge sera construite au niveau de la seconde travée, côté nord, en face de la chapelle romane, L’arc de l’entrée est monté en anse de panier, à la facture très irrégulière. La façade romane est constituée d’une entrée à quatre voussures nues, dotées d’un cordon de clous. Les colonnes qui l’encadrent possèdent des chapiteaux ornés de feuillages. Leur socle est formé de deux tores décorés de griffes. Elle reçut au cours des travaux intervenus à la fin du XVe, début XVIe siècle, une nouvelle façade qui disparaitra en 2014, lors d’un chantier de restauration qui lui redonna son aspect d’origine. De nombreuses traces de maçonneries diverses attestent des nombreuses modifications qui sont intervenues probablement après la Guerre de Cent Ans, à la Renaissance et à la suite des guerres de religions, puis entre les XVIIe et XIXe siècles. Elle sera restaurée en différentes occasions, en 1809, puis en 1849 et encore une fois en 1892. Les peintures de la nef conservent les vestiges d’une litre dont un seul blason est encore visible. Le chemin de croix fut installé en 1879. Dans la chapelle Renaissance positionnée au nord, le mur est, est orné d’une peinture en partie effacée, représentant une Vierge à l’Enfant et dont la position des bras trahi la présence de l’Enfant Jésus. Sur le mur nord, près du placard où est installé le compteur électrique, se voyait avant les travaux de 2014, la silhouette d’un arquebusier peint de couleur noire, parfaitement conservé. Il a aujourd’hui disparu.

La paroisse sera maintenue jusqu’en 1803 date à laquelle elle sera supprimée pour être rattachée à celle de Saint-Laurent de Cognac, toute proche, le 27 mars 1805 pour une courte durée. Le 30 septembre 1807, elle sera rétablie. Le presbytère possède des revenus qualifiés de médiocres. Le bâtiment menace ruine au XIXe siècle et il est délaissé en 1827. Il faudra attendre1847 pour qu’intervienne des réparations. Entre 1877 et 1882 il sera de nouveau en travaux. Le 21 juin 1878, le supérieur de Richemont siège d’une ancienne commanderie templière, viendra bénir le nouveau cimetière. A Saint-Martin, le chapitre confère et l’évêque institue. Lors des recherches menées sur les graffiti nous avons relevé le nom d’un vicaire gravé dans l’escalier du clocher près de la porte y donnant accès. L’inscription reconnue indiquait l’orthographe suivante :, « M.I. AYGRIN….PERE….1600 VICAIRE » Il est le premier desservant connu d’une longue liste. En 2014 d’importants travaux de restauration interviendront sur les murs, la façade et la nef. Ils seront exécutés par une entreprise locale, « Les Compagnons de Saint-Jacques », spécialisés dans la restauration du patrimoine ancien et historique en Aquitaine et dans les Charentes. Grâce à l’intervention du GRAHT, les intervenants seront sensibilisés sur la nature de ce patrimoine et les graffiti seront protégés durant la restauration Le 05 décembre 1991, le monument sera classé et son inscription sera étendue à toute l’église le 14 juin 2012.

Les Graffiti de l’église Saint-Martin


Les artistes anonymes de Saint-Martin

Une multitude de graffiti couvrent les murs extérieurs et intérieurs de Saint-Martin. Environ cinq cents à mille graffiti s’exposent sur tout le périmètre extérieur. Ces dessins ont été réalisés par des artistes anonymes depuis le XIIe siècle et certains furent exécutés avant la pose des blocs dans le corps du bâtiment. Ces gravures furent le fait des premiers intervenants sur le site, les artisans tailleurs de pierre, chargés de la construction de l’édifice dès le XIIe siècle. A la même époque, une autre catégorie d’intervenants laissèrent leurs marques sur la roche calcaire des blocs de pierre, les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle. Puis des passants locaux, fidèles, ouvriers agricoles, habitants ou de la commune et de son secteur géographique, mais aussi sympathisants ou résistants de la guerre 1939/1945, gravèrent des motifs correspondants à l’instant du moment.

Les Graffiti de Pèlerins à Saint-Martin

Arrivés sur le site pratiquement en même temps que les artisans bâtisseurs sur le chantier de l’église, nous sommes presque certains que quelques pèlerins de Saint-Jacques participèrent à certains travaux mineurs. En effet, sur la face sud de la chapelle romane, nous avons retrouvé au cours de nos recherches, une empreinte de pas ou semelle de pèlerin, gravée sur un bloc au niveau du troisième rang au-dessus du sol. Les graffiti de pèlerin se rencontrent aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur de l’édifice. A l’extérieur, ils se positionnent principalement sur les murs des deux chapelles. A l’intérieur, ils sont gravés sur la première travée sud, la chapelle romane, et sur le mur nord de la chapelle renaissance. Exceptionnellement et pour la première fois dans l’histoire de nos recherches, nous en avons rencontré dans le carré du clocher. La chapelle sud, porte sur les murs extérieurs et sur plusieurs blocs calcaire, des croix, des coquilles Saint-Jacques, et des pèlerins. Sur le mur est, de la chapelle, est dessiné un groupe de quatre pèlerins. A proximité, se découpe une magnifique coquille Saint-Jacques. L’un des graffiti les plus remarquables se trouve sur l’un des contreforts sud. Il montre l’association d’un tracé de compagnon à celui d’un pèlerin. Un tailleur de pierre exécuta une croix pointée à l’aide la pointe d’un outil, compas ou pointerolle. La croix est d’une grande précision. Chacune des extrémités des bras de la croix ainsi que son sommet s’achèvent par un trou de compas régulier. Puis dans un second temps un second artiste compléta le travail du premier en utilisant comme point de départ, l’extrémité de l’un des bras et traça la silhouette d’une coquille Saint-Jacques. Le contour est remarquablement bien conservé. Nous lui avons donné le nom de « Croix Jacquille »



Le contrefort sud-est et le mur est de la chapelle, abondamment gravés, dévoilent des mains de pénitence, une magnifique coquille Saint-Jacques et un groupe de quatre pèlerins. Le second emplacement colonisé par les jacquets se situe sur le mur est, extérieur, de la chapelle Renaissance. A cet endroit, se distinguent le visage d’un pèlerin coiffé d’un large chapeau, associé à une main de pèlerin et à l’empreinte d’un pas. Dans la nef, la première travée détient une main magnifiquement dessinée. Dans la chapelle romane, c’est un petit pèlerin probablement exécuté au XVIe siècle comme le laisse supposer son juste au corps qui attire l’attention. Cette partie du vêtement masculin dessine une coquille Saint-Jacques et le personnage tient un bourdon dans sa main droite. La chapelle renaissance quant à elle, porte trois mains dessinées avec plus ou moins de précision. Associé à ces dernières, se détache sur la paroi nord, près du sol, un angelot.

Origine du passage des pèlerins à Louza Saint-André

Il semble, car aucun texte ne fait mention du passage de pèlerins par Saint-Martin, que les jacquets empruntèrent ce chemin secondaire dès le XIIe siècle. Si l’on se réfère à la découverte du graffiti d’un pas relevé sur un bloc, près de la fondation du mur sud de la chapelle romane, on peut supposer que c’est le témoignage le plus ancien transcrit sur le monument. Cet itinéraire se serait dévoyé de la « Via Tunorensis » ou chemin de Tours à partir du hameau du Douhet en Charente Maritime, pour suivre une route parallèle à celle-ci, afin de se rendre à l’abbaye de Fontdouce sur la commune de Saint-Bris des Bois qui deviendra au XVe siècle une « Abbaye Royale ». Cette abbaye possédait un jardin médicinal et une infirmerie renommée où les pèlerins pouvaient se faire soigner. Ils poursuivaient ensuite leur périple par l’Abbaye de La Frenade sur la commune de Merpins, Pérignac, Echebrune, Biron, Avy, Chadenac, Marignac, Neuillac, Moings, Réaux, Jonzac, etc…. pour se rendre à celle de La Sauve Majeure en Gironde.

Conclusion

Les magnifiques graffiti de Saint-Martin de Louzac restituent une grande page de l’histoire du compagnonnage et du pèlerinage jacquaire sur les chantiers de constructions charentais qui parsemèrent les campagnes médiévales de notre département. Ce joyau est à découvrir comme un album photos à ciel ouvert. Les quelques centaines de gravures tracées par les bâtisseurs du Moyen-âge au XIXe siècle, associés aux tracés des pèlerins en marche pour la lointaine Gallice constituent un ensemble artistique unique qu’il est nécessaire de protéger et de mettre en valeur. Ce patrimoine est fragile. S’il a traversé les siècles pour nous parvenir, il est aujourd’hui menacé par l’activité humaine et ses débordements. Nous avons eu la chance au cours des neuf années passées sur le site, de rencontrer des élus très attachés à la conservation de celui-ci. Cette forme d’art populaire, totalement méconnue, est devenue aujourd’hui un sujet de recherches reconnu par les chercheurs et historien européens. Le GRAHT, qui est à l’origine de ces recherches sur l’histoire du pèlerinage galicien, sait aujourd’hui que cette forme d’expression est un langage populaire destiné à transmettre des informations pratiques aux pèlerins de Saint-Jacques, mais aussi à nos amis Compagnons du Tour de France. L’histoire des uns et des autres est très proches, voir communes aux et un autres car les uns comme les autres pérégrinent sur les routes et chemins qui ont fait les grands pèlerinages de la chrétienté. Il est tout à fait concevable de penser que des pèlerins entrèrent dans le monde du compagnonnage et que des compagnons, par le fait de leur Tour de France, se firent pèlerins. Le graffiti « La Croix Jacquille », semble être un exemple de ce qui pouvait réunir les deux communautés. La recherche n’en est aujourd’hui qu’à ses balbutiements, mais déjà avec la découverte par le GRAHT de ce langage universel, l’histoire du pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle, n’en fini pas d’ouvrir de nouveaux horizons. Les monuments qui nous paraissent insignifiants et qui sont élevés au bord des voies du pèlerinage, délivrent chaque jour par leurs gravures, de nouveaux éléments historiques qui nous permettent de mieux appréhender ce que fut l’histoire de ce grand pèlerinage européen dès l’époque médiévale. Un vent nouveau souffle sur cet épisode de son histoire, grâce à ces artistes anonymes qui n’en finissent pas de nous étonner par leur habileté à nous transmettre leurs messages sous forme de dessins, des informations que nous avons longtemps ignorées. Il était pourtant si simple d’ouvrir les yeux, de comparer ces graffiti gravés avec ceux d’autres monuments et de faire la liaison entre eux pour enfin comprendre ce qu’ils voulaient nous dire et faire comprendre. Il nous aura fallut des siècles d’ignorance pour enfin percevoir ce langage qui était si simple, ingénieux et facile à déchiffrer pour ceux qui ne savaient ni lire, ni écrire et qui traversaient des régions et pays aux multiples dialectes. Un nouveau chemin vers la connaissance, s’ouvre à nous, nul doute qu’il nous apportera d’immenses satisfactions de recherches. L’équipe, qui collabora à ces recherches archéologiques, était constituée de ; Daniel Bernardin, Pierre Eggimann, Philippe Moreau, Jeanine Moreau, Jean-Yves Clavel, Fabien Truffandier, Délhia Truffandier, Yann Truffandier, Lucie et Jérémie Florent, Christine Bernardin, Annie Piquepaille, Jeanne Rougier, Henriette Trimoulinard, Marie-Ange Trapateau, Jean-Marie Trapateau, Marie-cécile Paratte, François Paratte, Jean-Yves Clavel, Michel Desclaux, et Maryse Blin.

Bibliogtaphie

P. Lacroix – Chronique de l’Angoumois occidental – 1876 - Abbé Cousin – Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac et d’un grand nombre de localités entre Saintes § Châteauneuf, Archiac et Rouillac, Pons et Saint-Jean d’Angély – Tome I et Tome II - 1882 - Abbé J.Nanglard – Pouillé Historique du Diocèse d’Angoulême - Tome III - Diocèse de Saintes – Année 1900 - Abbé J.Nanglard – Pouillé Historique du Diocèse d’Angoulême - Tome IV Paroisses, Archiprêtrés : Cognac – Année 1903 - J.Martin-Buchey – Géographie Historique et Communale de la Charente – 1914-1917 - Jean George - Les Eglises de France- Charente – Année 1933 - Bruno Sepulchre - Châteaux, Logis et Demeures Anciennes de la Charente - 1993

Photos GRAHT

Daniel Bernardin - Jeanine Moreau



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